Alors que nous entrons dans une période de bouleversement global qui doit avoir comme dénouement, dans une petite décennie, la mise en place d’une nouvelle religion mondiale, il semblait évident que la retraite anticipée de Benoît XVI et l’élection d’un nouveau pape allaient nécessairement s’inscrire dans un plan plus large. Au C.R.O.M., nous étions d’accord sur le fait que le nouveau pape devait venir d’Amérique du Sud puisque, selon les prophéties les plus sérieuses, c’est de là-bas que sera lancé
le Grand Jeu qui aboutira au retour du faux messie. Sur ce point, nous ne nous avancions pas trop puisque 3 des 4 candidats en pôle position étaient de ce continent. Par contre, qu’un Jésuite même soit élu, voilà qui nous a plus surpris! Les Jésuites sont habituellement des hommes de l’ombre, ils aiment mettre en avant leurs ouailles pour mieux récolter les fruits de leurs actions. Quoique contrôlant les coulisses du Vatican depuis longtemps, ils n’ont jamais prétendus au poste de pape, préférant se dévouer à leur Général, le «pape noir». L’élection d’un pape jésuite signifie donc deux choses, qui sont complémentaires :
- Les Jésuites sont en train de toucher au but ultime de toutes leurs manigances, ils pressentent l’achèvement d’un plan élaboré sur près d’un demi-millénaire. Confiant en leur réussite prochaine, ils osent aujourd’hui se présenter au grand jour.
- Nous sommes actuellement en train de passer de l’ancienne religion mondiale (le catholicisme) à la nouvelle religion mondiale. Pour opérer ce passage difficile, les Jésuites ont besoin d’un homme parfaitement sûr, obéissant «comme un cadavre» aux instructions de l’Ordre. Pour cela, Benoît XVI ne pouvait bien sûr pas convenir. Il leur fallait un des leurs, observé depuis sa jeunesse et dressé comme il faut par des années d’«exercices spirituels».
Pour mieux comprendre l’état d’esprit qui habite les Jésuites de hauts grades, nous postons ci-dessous le serment que doit faire tout Jésuite qui est autorisé à passer à un des grades supérieurs de l’Ordre (le nouveau pape François 1er l’a sûrement prononcé). Ce serment est, bien sûr, resté longtemps secret et la Compagnie de Jésus continue à nier son authenticité. Mais il fait bien ressentir l’idéal qui anime tout Jésuite œuvrant «pour la plus grande gloire de Dieu». Que le lecteur désireux d’approfondir ces questions n’hésite pas à lire (ou relire) l’article intitulé La piste jésuite ainsi que la brochure portant le même titre. Il s’agit d’une synthèse de nombreuses années de réflexions !
Le C.R.O.M.
PS : Attention : Le texte ci-dessous a été transcrit par des protestants américains qui l’ont sans doute interprété selon leurs préjugés en se plaçant comme la cible des Jésuites, alors qu’en réalité, ces derniers ont infiltré toutes les religions depuis quatre siècles. Déjà au 17ème siècle, ils se vantaient d’avoir pénétré le Brahmanisme, le Shintoïsme et le Confucianisme, en évitant de nommer le Lamaïsme à l’ombre duquel ils installèrent leur pseudo « Grande Loge Blanche ». En Europe, la Franc-maçonnerie fut investie par eux peu après sa fondation.
Le Grand Serment des Fils d’Ignace Quand un Jésuite est sur le point de s’engager dans les niveaux plus élevés de l’Ordre, il s’agenouille sur une croix rouge devant le Supérieur. Il y a deux drapeaux devant lui, le drapeau jaune et blanc bien connu de la papauté, et le drapeau noir avec une dague et une croix rouge au-dessus d’un crâne, avec des tibias croisés. C’est celui de l’Ordre des Jésuites, conforme au symbolisme maçonnique du grade de maître. La signification des «deux drapeaux» est hautement initiatique. Sur le drapeau jésuite il est écrit : IUSTUM, NECAR, REGES, IMPIOS – l’extermination des rois, des gouvernements et des dirigeants impies – d’après les lettres INRI apposées sur la croix du Christ. Le supérieur de l’Ordre tend au novice élu parmi des dizaines de candidats un crucifix noir qu’il presse sur son cœur. Il lui présente ensuite une dague que le novice saisit par la lame nue et dont il presse la pointe contre son cœur. Alors, le Supérieur tenant toujours la dague par la poignée, lui adresse ces paroles: Mon fils, jusqu’ici on vous a enseigné à tenir le rôle de dissimulateur; parmi les catholiques romains, à être un catholique romain, et à surveiller même votre confrère; à ne croire en personne, à ne faire confiance à personne ; parmi les huguenots, à être un huguenot; parmi les calvinistes, à être un calviniste; parmi les protestants, à être un protestant, à obtenir leur confiance pour chercher à prêcher même depuis leurs pupitres et dénoncer avec toute la véhémence de votre nature notre sainte religion et le Pape; descendre aussi bas qu’il le faut, être juif avec les Juifs, afin que vous puissiez être capable de réunir toute information pour notre Ordre en tant que fidèle soldat du Pape. On vous a enseigné à planter insidieusement les graines de la jalousie et de la haine entre les communautés, les provinces et les états qui étaient en paix, à les inciter à des actes de sang, les impliquant mutuellement dans la guerre, et de créer des révolutions et des guerres civiles dans des pays indépendants et prospères, cultivant les arts et les sciences et jouissant des bienfaits de la paix. De prendre parti avec les combattants et d’agir secrètement de concert avec votre frère Jésuite qui peut être envoyé de l’autre côté, mais ouvertement opposé à celui dont vous pourriez être l’allié. Seule l’Eglise devra être la gagnante à la fin, dans les conditions fixées par les traités de paix et dont la fin justifie les moyens. On vous a enseigné votre devoir en tant qu’espion, à réunir toute statistique, fait et information en votre pouvoir depuis toute source; de vous intégrer dans la confidence du cercle de famille des protestants et hérétiques de toute classe et caractère, aussi bien le marchand, le banquier, l’avocat, parmi les écoles et les universités, dans les parlements, les législatures, et dans les conseils judiciaires de l’Etat, et d’être «toute chose pour tous les hommes», par égard pour le Pape dont nous sommes les serviteurs jusqu’à la mort. Vous avez reçu toutes vos instructions jusque là en tant que novice, que néophyte, et vous avez servi comme coadjuteur, confesseur et prêtre, mais vous n’avez pas été investi de tout le nécessaire pour commander dans l’armée de Loyola au service du Pape. Vous devez servir au bon moment comme instrument et exécutant de vos supérieurs ; car personne ne peut commander ici s’il n’a pas consacré ses labeurs du sang de l’hérétique : car «sans effusion de sang, personne ne peut être sauvé». Cependant, pour vous adapter dans votre tâche, et rendre votre salut assuré, vous allez, en plus de votre précédent serment d’obéissance à votre Ordre et votre allégeance au pape, répéter après moi : « Moi, X, à présent, et en présence de Dieu Tout puissant, de Marie la Vierge Bénie, de Michel l’Archange Béni, de St Jean le Baptiste Béni, les saints Apôtres St Pierre et St Paul et tous les saints et les hôtes sacrés du Ciel, et à toi, mon Père Spirituel, le Supérieur Général de la Société de Jésus, fondée par St Ignace de Loyola, durant le Pontificat de Paul le IIIème, et se poursuivant jusqu’à aujourd’hui, de faire par l’utérus de Marie, la matrice de Dieu, et par la verge de Jésus-Christ, de déclarer et jurer que sa Sainteté le Pape est le vice-régent du Christ et le vrai et seul dirigeant de l’Eglise Catholique Universelle sur la Terre ; et qu’en vertu des clés qui ouvrent et qui ferment données par mon Sauveur Jésus-Christ, il a le pouvoir de détrôner les rois, les princes, états, common wealths et gouvernements hérétiques, tous étant illégaux sans sa confirmation sacrée, et qu’ils doivent être sûrement détruits. Par conséquent, au summum de mon pouvoir, je défendrai cette doctrine ainsi que le droit et l’usage de Sa Sainteté contre tous les usurpateurs de l’autorité hérétique ou protestante et tous leurs adhérents au regard du fait qu’ils sont des imposteurs et des hérétiques, s’opposant à la Mère Sacrée de l’Eglise de Rome. Je m’engage à présent à renoncer et à désavouer toute allégeance due à quelque roi, prince ou état hérétique nommés protestants ou libéraux, à refuser l’obéissance à n’importe laquelle de leurs lois, magistrats et fonctionnaires. Je déclare de surcroît que les doctrines des églises d’Angleterre et d’Ecosse, des calvinistes, huguenots et autres du même acabit que protestants et libéraux comme étant damnables, qu’elles se sont damnées elles-mêmes et que soient damnées ceux qui ne les abandonneront pas. Je déclare de surcroît que j’aiderai, assisterai et conseillerai tous les agents de sa Sainteté partout où je me trouverai, dans n’importe quel autre royaume ou territoire où j’irai, de faire mon maximum pour extirper toutes les doctrines hérétiques protestantes ou libérales et de détruire tous leurs prétendus pouvoirs royaux ou autres. De plus, je promets et déclare que, malgré ce dont je suis dispensé, d’assumer toute religion hérétique, pour la propagation de l’intérêt de la Mère Eglise, de garder secret et privé tous les conseils d’agents, au fur et à mesure du temps, selon ce qu’ils peuvent me confier, et de ne pas divulguer, directement ou indirectement, par paroles, par écrits ou autres circonstances; mais d’exécuter tout ce qu’ils iront me proposer, tout ce dont ils me chargeront ou découvriront, en ton nom, mon Père Spirituel ou pour quelque convent sacré. De plus, je promets et déclare que je n’aurai aucune volonté par moi-même, ou même une quelconque réserve intellectuelle, aussi mort qu’un cadavre, mais obéirai sans aucune hésitation à chacun et tout ordre que je peux recevoir de mes supérieurs de la Milice du Pape et de Jésus-Christ; que j’irai dans n’importe quel endroit du monde où je puisse être envoyé, sans murmurer ou rechigner, et que je serai soumis à toutes choses ordonnées. Je promets et déclare de surcroît que je ferai, dès que l’opportunité se présentera, une guerre implacable, secrètement ou ouvertement, contre tous les hérétiques, protestants ou libéraux, comme je suis dirigé pour le faire, de les extirper et les exterminer de la face de la Terre entière, et que je n’épargnerai personne quel que soit son âge, son sexe ou sa condition, que je pendrai, brûlerai, ferai dépérir, abîmerai, écorcherai, étranglerai, et enterrerai vivant ces infâmes hérétiques ; que j’arracherai les ventres et les matrices de leurs femmes, écraserai les têtes de leurs enfants contre les murs, afin d’annihiler à tout jamais leur exécrable race. Qu’au cas où cela ne pourrait pas être fait ouvertement, j’utiliserai secrètement le récipient empoisonné, la corde à étrangler, le fer du poignard ou le plomb de la balle, sans égard pour le rang, l’honneur, la dignité ou l’autorité d’une ou des personnes, quelle que puisse être leur condition de vie, publique ou privée, puisque je puis être sommé de le faire par n’importe quel agent du Pape, ou par un supérieur de la Fraternité de la Sainte Foi, de la Société de Jésus. En confirmation duquel, je dédie par la présente mon existence, mon âme et tous mes pouvoirs corporels, et qu’avec cette dague que je reçois maintenant, je signe de mon nom écrit de mon propre sang, pour attestation ; et s’il est avéré que je manque par fausseté ou faiblesse dans ma détermination, que mes frères et soldats de la Milice du Pape me tranchent les mains et les pieds, et la gorge d’une oreille à l’autre, que mon ventre soit ouvert et qu’on y brûle du soufre, avec toutes les punitions qui puissent m’être infligées sur Terre, et que mon âme soit torturée par les démons dans un enfer éternel. Par tout cela, moi X, jure sur la Sainte Trinité et le saint Sacrement, que je suis sur le point de recevoir, de célébrer, quant à moi, invariablement ; que je dois faire appel à tous les hôtes célestes et glorieux du Ciel pour être témoins de mes réelles intentions de conserver ceci en tant que serment. En témoignage de cela, je prends ce haut et saint sacrement de l’Eucharistie, et de surcroît m’en porte témoin, de mon nom écrit de la pointe de cette dague trempée dans mon propre sang et scellé devant ce saint convent. Le supérieur: « Tu te tiendras à présent sur tes pieds et je t’enseignerai le catéchisme nécessaire pour que tu fasses connaître à tout membre de la Société de Jésus appartenant à ce grade. En premier lieu, en tant que Frère Jésuite, tu feras avec un autre Frère, le signe ordinaire de la croix comme n’importe quel catholique romain le ferait ; ensuite l’un de vous croise ses poignets, paumes des mains ouvertes, l’autre croise ses pieds l’un par-dessus l’autre; le premier pointe de son index droit le centre de sa paume gauche, tandis que l’autre de son index gauche pointe le centre de sa paume droite, puis le premier de sa main droite fait un cercle autour de sa tête, en la touchant; ensuite l’autre de l’index de sa main gauche touche le côté gauche de son corps juste sous son cœur, puis le premier de sa main droite mime le geste de trancher la gorge de l’autre, puis l’autre de sa main droite fait le geste de couper à la dague l’estomac et l’abdomen du premier. Le premier dit alors IUSTUM ; l’autre répond NECAR ; puis le premier dit REGES, et l’autre répond IMPIOS. Le premier va alors présenter un petit morceau de papier plié d’une façon particulière quatre fois, que l’autre va couper longitudinalement en l’ouvrant, on trouvera le nom IESU écrit sur la tête et sur les bras trois fois. Ensuite vous donnerez et recevrez les questions et réponses suivantes.» Q : D’où venez-vous? R : Des rives du Jourdain, du calvaire, du St Sépulcre et pour finir de Rome. Q : Qui servez-vous? R : Le saint Père de Rome, le Pape, et l’Eglise catholique Romaine universelle partout dans le monde. Q : Qui vous commande? R : Le successeur de St Ignace de Loyola, le Fondateur de la Société de l’Eglise ou Soldats de Jésus-Christ. Q : Qui vous a reçu? R : Un vénérable homme aux cheveux blancs. Q : Comment? R : Avec une dague nue, et moi m’agenouillant sur une croix sous les drapeaux du Pape et de notre Ordre Sacré. Q : Avez-vous prêté serment? R : Oui, de détruire les hérétiques ainsi que leurs gouvernements et dirigeants, et de n’épargner personne quel que soit l’âge, le sexe ou la condition. D’être comme un cadavre sans aucune opinion ou volonté par moi-même, mais d’obéir implicitement à mes supérieurs pour toutes choses sans hésitation ni murmure. Q : Le ferez-vous? R : Oui. Q : Comment voyagez-vous? R : Dans la barque de Pierre le pêcheur. Q : Où voyagez-vous? R : Aux quatre coins du globe. Q : Dans quel but? R : Pour obéir aux ordres de mon Général et de mes supérieurs, et exécuter la volonté du pape, et accomplir fidèlement les conditions de mon serment. Alors, va partout dans le monde, et prends possession de toutes les terres au nom du Pape. Celui qui ne l’acceptera pas en tant que Vicaire de Jésus et de son Vice-Régent sur Terre, qu’il soit maudit et exterminé.»
Mise en Ligne: 15.03.13 | Extrait de La Piste Jésuite