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Les Dessous du réseau pédocriminel

Les Dessous du réseau pédocriminel

Il existe des pédophiles isolés, dont on entend parler dans les médias. Mais la face cachée de l‘iceberg est le réseau pédocriminel de notables, dissimulé par les puissants, des médias comme de la justice. Tout est fait pour discréditer la véracité de ce réseau pédo-satanique.
  • Des enfants réduits en esclavage, violés, tués, en France et ailleurs;
  • Des anciens agents des services secrets français qui balancent;
  • Des personnalités publiques pédophiles protégées;
  • Une justice corrompue: des affaires classées, des procédures ralenties, des plaignants accusés;
  • Des centaines de témoignages; des documentaires, reportages accablants
  • Des citoyens et associations qui se mobilisent, et subissent des pressions

Et pourtant, rien ne se passe. Comme pour d’autres thématiques ultrasensibles, ce combat contre la pédophilie de réseau est calomnié. Pire, on note partout des tentatives de banaliser la pédophilie, dans les me(r)dias d’Europe. Comment voulez-vous qu’on ne crédite pas les rumeurs grandissantes et persistantes de cercles occultes sataniques de notables, dans la franc-maçonnerie de haut grade notamment. Nous allons ici exposer et détailler ces faits qui constituent l’une des pires perversion maintenue taboue.


Via L’Esprit du Moment, toutes les informations actuelles & passées

#PÉDOCRIMINALITÉ : ACTUALITÉEXPLORATION



1. Anciens agents français qui balancent


Gilbert Abas – Un ex-agent dénonce les réseaux pédo satanistes

Partie 1

MetaTV est allé à la rencontre de Gilbert Abas ancien membre des renseignements généraux (devenu la DCRI) dénonce les réseaux pédo-sataniste qui agissent en toute impunité en France. Son expérience au sein des services de police en tant qu’agent de renseignement l’a poussé à continuer son combat maintenant qu’il est à la retraite. Une entrevue explosive pour comprendre le problème de ces réseaux qui prolifèrent en toute impunité avec le consentement de certains membres de l’institution judiciaire (Partie 2Partie 3)

A noter que Gilbert Abas milite depuis longtemps; il a produit deux livres et quelques vidéos sur le sujet. Gilbert Abas présente son roman sur le satanisme : Qui veut encore tuer le Christ ? (entretien)

Les Réseaux Satano-Pédophiles par Gilbert Abas


Le contacter:


Bruno Mercier, ancien militaire, auteur de La Mafia Française – fiche de chantage – la Pédocriminalité

Un livre sur la mafia empêché de vente en France. Bruno Mercier, un ancien militaire qui a travaillé pour les services de renseignement, et qui vient de publier La mafia française, ses méthodes, ses réseaux, nous écrit

« Suite à la sortie de mon livre « La mafia française, ses méthodes, ses réseaux », mon éditeur Actania Presse a été menacé, le diffuseur DILISCO a été sommé de retirer le livre de la vente, j’ai été menacé à deux reprises physiquement, deux blogs que j’avais ouvert ont été fermés brutalement, AMAZON n’arrive plus à vendre en ligne le livre »

L’auteur, infiltré dans un réseaux de mafieux français en Asie du Sud-Est, montre qu’en France aussi il existe une mafia puissante et influente, comme en Italie,en Russie ou en Palestinne occupée. Il décrit les dessous de ses méthodes et la composition de ses principaux réseaux, et montre comment elle est impliquée dans la plupart des grandes affaires qui ont défrayé la chronique ces quinze dernières années. Issus des organisations mises en place par les services secrets occidentaux pour constituer des réservoirs de combattants de l’ombre destinés à empêcher l’arrivée des communistes en France, des hommes se sont progressivement transformés en mafieux. Ils ont notamment infiltré tout le système dit de la » Françafri(c)que » avant d’étendre leur influence sur l’Asie et la corne de l’Afrique.

Livre « La mafia française / ses méthodes, ses réseaux » – Auteur : Mercier Bruno – Éditeur : Actania Presses [extrait PDF] [acheter]

Ce récit dévoile l’organisation tentaculaire qu’ils sont parvenus à mettre en place, les méthodes mises au point par eux ainsi que les liens les unissant à la plupart des affaires qui ont empoisonné les relations de la France avec l’Afrique et l’Asie. Ainsi sont révélés les dessous des affaires de la grotte d’Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, du Juge Borrel à Djibouti, de l’infiltration de Canal +, des financements occultes de nombreuses Ong, et de bien d’autres encore…

Stan Maillaud, ancien gendarme, activiste antipédophile

Il est très actif et a réalisé, avec Jannet Seemann, le célèbre document « Les réseaux de l’horreur » (3h40)

Stan Maillaud, LeLibrePenseur, La Rencontre – La Pédophilie des Élites


pedophilie

2. Témoignages; documentaires & reportages accablants

Serge De Beketch dénonce Les réseaux pédocriminels

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Jean-Pierre Mocky parle de pédophilie institutionnalisée – les ballets écarlates


Pédophilie chez les politiques, les juges par Hervé Villard

Témoignage d’Hervé Villard sur sa propre expérience d’enfant placé par la DDASS (ex. ASE)


« Viols d’enfants : La fin du silence »
(Elise Lucet, 1999, intégral)

« Viols d’enfants : la fin du silence est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusé au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins. Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d’enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l’attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d’écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes. Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu’ils sont doués d’un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu’ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu’ils racontent avoir vécu. En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l’intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu’ils expliquent avec leurs mots d’enfant ce qu’ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permets pas de douter de la véracité des faits. »


Zandvoort le Fichier de la Honte (Karl Zéro)

Reportage de Karl Zéro sur le dossier Zandvoort démontrant que des centaines d’enfants ont été victimes d’un réseau pédophile international protégé par le pouvoir.


Le livre de la Honte

L’enquête qui accuse
Des enfants sont en danger…
Des menaces de mort pèsent sur des journalistes.
Des réseaux pédocriminels se sentent à l’abri de la Justice.Dans le même temps, des démarches visent à interdire un livre.

Un livre qui relate une enquête minutieuse sur « Le dossier de la honte ». Le 24 février 2000, Serge Garde publie un dossier de trois pages dans le quotidien L’Humanité. Il y révèle l’existence d’un CD-Rom informatique contenant 8.500 documents de pédocriminalité. On y voit des scènes de viols d’enfants, et même des viols de nourrissons. Quelque mois plus tard Laurence Beneux publie un article dans le Figaro et participe à un reportage sur Canal+. Logiquement, la Justice et la police auraient dû prendre le relais, averties par les révélations des journalistes qui montrent sans conteste qu’il existe en Europe des véritables réseaux pédocriminels. Des enfants sont en danger. Des réseaux obscurs s’adonnent au trafic de jeunes vies. Ce marché immonde rapporte davantage que la drogue. Il ne nécessite pas d’investissements. Il suffit de se « procurer » un enfant puis d’un appareil photo pour promouvoir la marchandise… Et, surtout, c’est une activité dont les risques vis-à-vis de la Justice sont bien limités. Tellement limités que les journalistes qui ont mené l’enquête dénoncent: « Du côté des institutions, police et Justice, c’est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers ». Ils posent la question: Pourquoi la police et la Justice n’ont-elles pas poussé l’enquête?

Serge Garde nous raconte l’histoire du « dossier de la honte »

Serge Garde, vous venez de publier, avec Laurence Beneux, un livre qui a pour titre Le Livre de la honte.Pourquoi ce titre?Parce que ce que nous racontons est honteux. Parce que la façon dont la Justice française a traité cette affaire de pédocriminalité ne mérite pas d’autres qualifications. C’est honteux car, au départ, nous avons publié dans L’Humanité et dans Le Figaro des révélations concernant un CD-Rom contenant 8.500 documents de pédocriminalité et de viols d’enfants, de nourrissons, et nous avions rapporté qu’à partir de ce CD-Rom la police hollandaise avait établi un fichier contenant 472 portraits d’enfants. D’enfants en danger car on les voit sur le CD-Rom dans des situations absolument sans équivoques. Pour beaucoup d’entre eux, on est témoin des scènes de leur viol. Ce qui nous a donc particulièrement choqués, c’est qu’à la suite de nos révélations concernant ce document, rien n’a été fait pour rechercher ces enfants en danger. Or ce document existe bien, il est en possession de la police hollandaise, il a été transmis à Interpol et donc aussi aux autorités françaises. Rien, absolument rien n’avait été entrepris de la part de la Justice, ni de la police et, il y avait même un certain embarras sur l’existence de ce fichier. Quand nous avons questionné les autorités, afin de savoir si elles avaient connaissance de ce fichier… il y a eu un refus de nous répondre.

D’où provient ce document informatique que vous vous êtes procuré?
Le CD-Rom a été retrouvé chez un pédotrafiquant néerlandais domicilié a Zandvoort qui s’appelait Gerrit Ulrich. C’était une sorte d’activiste informatique, dans le sens qu’il intervenait beaucoup sur Internet. Il était évident qu’on se trouvait en face d’un élément important d’un réseau. Sur le fichier tiré de ce CD-Rom, les visages des enfants sont identifiables, tout comme les visages de certains violeurs. Donc, pour nous il était évident que la police française, tout comme la Justice des autres pays européens se trouvait devant une urgence. Rechercher les enfants afin de les sauver et mettre hors d’état de nuire les adultes violeurs. Nous nous étions dits qu’à partir du moment où nous publiions les révélations sur l’existence de ce document, notre travail de journalistes était terminé et que le travail de la Justice devait commencer. Sauf… que c’est tout le contraire qui s’est produit. Nous avons été contraints de constater que la seule activité de la Justice française dans cette affaire a été celle d’essayer de minimiser, voire d’enterrer l’affaire… et le pire, c’est qu’ils sont sur le point de réussir.
Comment avez-vous trouvé ces documents ?
Je me trouvais en Belgique avec Laurence Beneux, et nous étions en train d’enquêter sur ceux qu’on appelait en Belgique les « témoins X », c’est-à-dire des témoins qui apportaient des éléments sur l’existence de réseaux de prostitution d’enfants impliquant des personnalités belges dans le cadre de l’affaire Dutroux. On les appelle « témoins X » pour protéger leur sécurité. L’unité d’élite de la gendarmerie belge qui travaillait sur les « témoins X » a été stoppée net. Ces gendarmes ont commencé à avoir de très sérieux ennuis à partir du moment où plusieurs « témoins X » ont mis en cause des personnalités politiques importantes, voire des membres de la famille royale belge. C’est en travaillant sur ce phénomène qu’une personne m’a dit que je devrais contacter l’association Morkhoven, en Belgique. Ça m’a intrigué, et c’est comme ça que j’ai contacté l’association Morkhoven. C’est cette association qui avait découvert le CD-Rom, et qui avait « négocié » la remise à la police néerlandaise.
Des enfants ont été identifiés?
En conduisant l’enquête, nous avons été littéralement assaillis par les demandes des parents qui éprouvaient des inquiétudes très vives concernant des enfants qui ont disparu ou qui déclarent avoir été abusés devant des caméras ou les objectifs d’appareils photos. Alors que la Justice restait inactive, c’est nous, les journalistes qui avons accepté de recevoir des parents pour qu’ils puissent consulter ce fichier à la recherche d’un enfant.
Un jour, une maman, habitant la région parisienne a dit « c’est mon fils ». Puis il y en a eu une deuxième. Ce deuxième enfant a été reconnu par sa mère, par deux pédopsychiatres qui l’ont eu comme patient ainsi que par une travailleuse sociale. Nous avons reçu la visite de dizaines et de dizaines de parents, grands-parents, je pense que nous avons reçu environ deux cents personnes qui sont venues visionner ce fichier, qu’ils ne pouvaient pas voir ailleurs. Il y a même eu des personnes qui sont venues de Floride, et au total nous sommes arrivés à l’identification d’une vingtaine d’enfants français et belges. Donc, plusieurs mois après nos révélations nous pouvons dresser le bilan suivant: travail de la justice, aucune identification; travail des journalistes et des associations, une vingtaine d’enfants identifiés.
Mais quelle a été la position des autorités judiciaires?
Du côté de la Justice la seule activité évidente ça a été de dire: les mamans qui ont reconnu leurs enfants se trompent. Nous avons même pu constater que des mensonges ont été distillés à la presse. Il y a eu une véritable pratique de désinformation. Je sais que ce que je dis est grave, mais j’affirme que le parquet de Paris a pratiqué la désinformation en lançant, via les agences de presse, des informations fausses en accréditant l’idée que les parents qui avaient identifié un enfant sur le fichier s’étaient trompés. Et puis, nous avons même vu une intervention du substitut du procureur des mineurs à Paris, Yvon Tallec, qui devant les caméras de France 2, au cours d’un journal télévisé, a eu une déclaration incroyable. Il affirmait qu’il fallait minimiser cette affaire du CD-Rom pédocriminel. Et, pour motiver ses propos, il a avancé trois raisons: la première raison c’est que, selon ce magistrat, les documents contenus sur le CD-Rom seraient des documents anciens. Or, comment peut-on juger à partir d’une photo d’un visage d’enfant s’il s’agit d’une image ancienne ou récente? Et, même s’il s’agissait d’images anciennes… on est dans le domaine du crime sexuel et la prescription du crime n’intervient que 10 ans après la majorité légale de la victime! C’est-à-dire que les nourrissons qui sont violés, comme c’est le cas de ceux que nous voyons sur le CD-Rom, pourront porter plainte jusqu’à leur vingt-huitième anniversaire.
La seconde raison évoquée par ce magistrat est, elle aussi, aussi incroyable que la première. Il affirme qu’il n’y aurait quasiment pas d’enfants français sur ce fichier. Or, moi je souhaite qu’un magistrat puisse me dire, sur la base de ces photos, quel enfant est ou n’est pas français… c’est complètement aberrant!
La troisième raison invoquée par ce magistrat, sidère tout le monde. Il affirme que les images d’enfants photographiés sur le CD-Rom proviennent en réalité de certaines revues, et que les enfants étaient consentants, ou que leurs parents l’étaient. Nous sommes donc confrontés à un magistrat, qui sur Paris a le pouvoir de procéder a un classement sans suite, et qui nous dit en substance que, dans ce cas de proxénétisme, il n’y aurait aucun problème dès lors que les parents seraient consentants! Si nous le comprenons bien, ce magistrat nous explique que si un enfant dit « oui » il n’y a pas de viol. Effectivement, si l’on adopte ce point de vue, on comprend pourquoi Paris est une des régions de France où les classements sans suite et les non-lieux dans ce type de crime sont les plus fréquents. Quand nous avons compris comment la Justice parisienne commençait ses investigations sur l’affaire du CD-Rom, nous nous sommes rendus compte qu’on allait vers l’étouffement de l’affaire. C’est pour ça que nous avons poursuivi notre travail d’investigation et que nous avons écrit ce livre.
Combien d’enfants disparaissent chaque année en France?
Je n’ai pas de réponse précise. En France, on peut avoir des statistiques sur tout, même sur le nombre de saumons contrôlés dans le bassin de la Loire en l’an 2000, mais sur les enfants disparus, il n’y a pas de chiffre, ou s’il existe, il est caché. Le seul chiffre que j’ai pu retrouver, remonte à 1982: il fait état de la disparition de plus de soixante-dix enfants de moins de 12 ans. Il ne s’agit pas de fugues, mais bien de disparitions corps et biens. Mais je n’ai pas souvenance d’enquêtes concernant ces disparitions. Récemment le député du Val d’Oise Robert Hue a posé la question à la Garde des Sceaux: il serait bien qu’on ait des chiffres sur le nombre d’enfants qui disparaissent en France, et cela depuis dix ans. J’attends avec impatience la réponse de la ministre.
Dans le CD-ROM que vous avez retrouvé, y a-t-il des photos d’enfants français?
Il y a des enfants de la région parisienne, beaucoup de la région Chambéry-Annemasse, ensuite c’est diversifié. Pour l’Yonne, c’est terrible. Dans le cadre de l’affaire des « disparues de l’Yonne », des parents ont demandé à visionner le fichier. Après énormément de résistances, la juge d’instruction parisienne qui bloque tout à Paris sur cette affaire a été amenée à transmettre un exemplaire du fichier dans les différents commissariats et gendarmeries. Malgré qu’elle l’ait fait pendant les mois d’été, des parents ont consulté le fichier, notamment à Auxerre. Deux jeunes filles ont été reconnues et identifiées par des familles de disparues de l’Yonne. Je ne sais pas encore jusqu’à quel point cette identification est valable, mais si c’est le cas, alors toute la version officielle de l’affaire des « disparues de l’Yonne » tombe. Actuellement on est dans l’hypothèse d’un serial killer de campagne, solitaire, Emile Louis. Dans le cas d’une vérification positive, comment pourrait-ton expliquer qu’on retrouve les photos de ces disparues dans le cadre d’un réseau informatisé en Hollande?
Comment pouvez-vous être sûr de l’existence de véritables réseaux?
Lorsque j’ai eu entre les mains le CD-Rom et le fichier, j’ai également pu disposer de 200-250 feuilles, des photocopies des agendas, des carnets d’adresses de Gerrit Ulrich et de certaines personnes qui gravitaient dans la même sphère. Sur le carnet d’adresses d’Ulrich, on relève des contacts en Hollande, en Grande-Bretagne, en Espagne, en Suède, aux USA, en Bulgarie, en Pologne en Lettonie et… en France! Il y a aussi des références bancaires: l’Europabank for reconstruction and Development, la Banque nationale d’Ukraine, mais aussi, le Crédit agricole et le Crédit Lyonnais…
Pour quelle raison la justice éprouve des difficultés à admettre l’existence des réseaux pédocriminels?
Je reste convaincu que la pédocriminalité est niée parce qu’elle est invisible. La justice française est habituée à traiter d’abord la criminalité visible, celle qui crée un trouble à l’ordre public. Dans le cas de viols d’enfants, c’est invisible, et le scandale ne va apparaître que lorsqu’il y a le dépôt de la plainte, et que le juge va faire son travail. C’est-à-dire que c’est le juge qui va devenir le vecteur du scandale. Et ceci, les juges ne le supportent pas; ils sont là pour rétablir l’ordre lorsque l’ordre public est troublé par un scandale. La tendance générale de la Justice en France c’est de minimiser ce qui n’est pas visible. C’est valable pour les viols d’enfants, comme pour la délinquance économique. Il y a en plus d’autres phénomènes qui vont jouer, et qui vont conduire à l’étouffement de ces plaintes.
Prenons un autre exemple, dans l’Yonne, l’affaire du pavillon d’Appoigny. Dans ce village, un individu, Claude D., avait ouvert, avec sa femme, un véritable bordel spécialisé dans le sadomaso très hard. Moyennant un tarif affiché dans la cave, on pouvait torturer des jeunes filles -qui avaient été kidnappées, et qui appartenaient à la DDASS. Elles étaient sous le même contrôle social – théorique – que les disparues de l’Yonne. Les « clients » pouvaient écraser une cigarette allumée sur un sein pour 600 francs, ou apposer une croix gammée au fer rouge – il y avait une idéologie nazie dans ces activités – sur la peau d’une jeune fille pour beaucoup plus cher. Il est clair, quand on voit l’addition que cela pouvait représenter, qu’il y avait beaucoup de notables parmi les clients. Les voisins n’arrêtaient pas de voir arriver de grosses cylindrées qui venaient s’arrêter devant le pavillon. Et le tenancier tortionnaire avait un carnet, dans lequel il notait les noms de ses clients. On retrouve là le réflexe de certains nazis qui étaient très fonctionnaires, et qui avaient le souci du détail et qui tenaient des registres sur leurs crimes comme si c’était une activité industrielle ou commerciale.
Claude D. a été arrêté parce qu’une jeune fille a réussi à s’échapper et qu’elle a pu prévenir les gendarmes. Deux prisonnières ont été sauvées à ce moment-là, mais on ne sait pas depuis combien d’années ça durait et combien de jeunes filles sont passées entre les mains de ces tortionnaires et ce qu’elles sont devenues. Pendant l’enquête, le carnet d’adresses a disparu. Le plus beau, c’est qu’il s’est volatilisé dans le bureau du juge d’instruction. Et donc, lorsque Claude D. a été jugé, il n’y avait pas de clients dans le box des accusés. Une affaire de proxénétisme sans clients. Il a été condamné à perpétuité en 1991, et il a été remis en liberté dès l’an 2000. Certains pourront dire que le carnet avec tous les clients n’a pas été perdu pour tout le monde.
Retrouve-t-on souvent des personnalités influentes, des notables à l’intérieur de ces réseaux?
Je pense à ce qu’a dit le juge Connerotte qui était en charge du dossier Dutroux, au moment où il a été dessaisi: « On a touché au jouet des riches »… Il s’agit là d’un tabou, et donc ça coûte cher. Ce magistrat travaillait à la recherche d’un réseau, il a été dessaisi, et l’on a réécrit l’affaire Dutroux. Officiellement, c’est l’affaire d’un pervers isolé.
Moi, j’essaie d’en rester aux faits. Je pense que la pédocriminalité, la pédosexualité est sans doute l’une des dernières pratiques sexuelles qui permettent de « tenir » ceux qui se font piéger ou qui s’y adonnent. En France, au moins, le fait qu’un responsable vive sa vie dans des circonstances que certaines morales reprouvent, tout le monde s’en fiche, pourvu que ce soit entre adultes consentants. La pédosexualité est sans doute l’un des derniers domaines où l’on peut être l’objet de chantage. Je crois qu’il y a en France une longue tradition dans ce domaine. Je repense aux activités du SAC, un organisme para-policier, où l’on retrouvait des flics, des truands, tous avec la même carte tricolore. Le SAC avait certaines activités financières, et notamment il avait dans son giron une société dirigée par un certain Charlie Lascorz dont le travail consistait à organiser des parties fines, à inviter des personnalités et à les piéger en les filmant, en les photographiant. Ensuite les gens se trouvaient confrontés à des chantages, qui n’étaient pas seulement financiers, mais qui pouvaient s’apparenter à un trafic d’influence.
Je peux penser qu’actuellement, organiser une partie fine et introduire au cours de la soirée des mineurs avec prise de photos, ça piège tous les participants. Et je vois mal comment certains groupes se priveraient de cette arme qui peut leur procurer des parcelles de pouvoir et de l’argent.
Comment est appliqué le droit en France pour les affaires de pédocriminalité?
Globalement, la Justice fonctionne normalement, même si les juges ne sont pas formés, ou n’ont pas de moyens, mais il y a en France un certain nombre de secteurs où le droit n’est pas appliqué. La région de Nice jusqu’à une période récente, les régions alpines, des poches dans la vallée du Rhône, Paris… Le droit prescrit que tout acte sexuel commis par un adulte sur un mineur de moins de 15 ans est un crime. C’est ça les textes. Et ces textes ne sont pas appliqués dans ces zones de non-droit. Lorsque 60 à 80% des plaintes exprimées par les enfants sont classées sans suite, ça veut dire que l’on considère ces enfants comme des présumés menteurs alors qu’ils sont à priori victimes. On leur dit « non, vous êtes coupables de mensonge ». Il y a une inversion des valeurs. Lorsqu’on a été victime de ce genre de crimes sexuels, il y a une étape qui est indispensable pour pouvoir se reconstruire, c’est le fait qu’on vous reconnaisse le statut de victime. Pour tous ces enfants, c’est un déni de justice. On leur dit, « vous êtes des menteurs et pas des victimes ». Ça ne peut s’appeler autrement que du non-droit.
Combien de documents pédocriminels avez-vous découverts?
Au début de l’enquête, nous avions un CD-ROM, qui contient 8.500 documents. Et puis, au cours de cette enquête, Laurence Beneux a trouvé un deuxième CD-Rom.
Lorsque l’enquête a été publiée au printemps 2000 dans L’Humanité puis dans Le Figaro, la Garde des Sceaux s’est déclarée troublée. Elle intervient alors dans le journal de France 3, où elle va tenir un langage étonnant… « Nous avons le fichier [qui était en possession d’Interpol], mais nous ne pourrons rien faire tant que nous n’avons pas le CD-Rom ». Et ça, c’est étonnant, car déjà dans le fichier il y a des documents assez précis pour pouvoir commencer à travailler. Le lendemain de cette intervention, je remets donc le CD-Rom au procureur général auprès de la Cour d’appel de Paris, Alexandre Benmaklouf. Ce que je ne savais pas, quand je remettais le CD-Rom au procureur général, c’est qu’il l’avait déjà. Depuis un an. Et l’affaire avait été classée au bout de quelques semaines, au motif qu’il n’y avait pas matière pour une incrimination pénale. Je rappelle que dans ce CD-Rom il y a des viols de nourrissons…
Ensuite, Laurence Beneux, qui travaillait à l’époque pour Canal+, a eu accès au deuxième CD-Rom, qui contient des scènes de torture de petites fillettes insoutenables, et elle le remet à la Justice. Depuis, rien. C’est-à-dire que la Justice possède deux CD-Rom, et… strictement rien.
Au moment où nous parlons, nous avons vingt CD-Rom. C’est-à-dire entre 80.000 et 100.000 documents pédosexuels et pédocriminels. Ce sont des documents qui doivent servir pour identifier les enfants, pour les sauver. Derrière chaque photo, il y a un enfant réel, qui a été violé, qui souffre. Qu’est-ce qu’on va faire de ces CD-Rom? Pour moi, il n’est pas question de les remettre à la Justice française, quand on voit ce qu’elle a fait des deux premiers que nous lui avons confiés, je ne peux pas être complice de ça.
Vous avez déjà été menacé?
Oui. Des menaces de mort. Au moment de la sortie du livre. J’interprète ça comme des pressions, des tentatives de vouloir m’empêcher de faire mon travail, on veut me faire peur, me déstabiliser. Je pars du principe que si un jour on voulait m’abattre, on ne me préviendrait pas à l’avance. Je travaille en réseau avec d’autres journalistes. C’est ça la meilleure protection.A Voir :

pedophilie

3. Franc-maçonnerie pédo-luciférienne

Le petit Vishal a été retrouvé en février 1982, son cadavre était nu, le pubis coupé et amputé des deux jambes. Son père, Vishambhar Mehrotra, juriste, a même parlé d’un « refus d’enquêter » de la part de la police et a désigné « un cercle de pédophiles lié au gouvernement et couvert par Scotland Yard ». Charlie Hebdo, les clochards de la liberté n’attaquait jamais les pédophiles satanistes. Et pour cause. Val était le meilleur ami du pédophile Patrick Font.

Les études de l’écrivain Henry Makow, de Fritz Springmeier, le livre Dossier pédophilie de Jean Nicolas et Frédéric Lavachery, de Jacques Ploncard d’Assac [Le secret des FM, p.131 : découverte du cadavre mutilé d’une fillette en 1941 dans la loge de Bézier], démontrent clairement que la Franc-maçonnerie est au cœur de la pédocriminalité ou du pédosatanisme. Aleister Crowley, 33e degré de la Franc-maçonnerie, sacrifiait 150 enfants par an. Albert Pike, dans Morals and Dogma ou encore Adam Weishaupt dans Le Testament de Satan affirment que le secret de la Franc-maçonnerie est la dévotion en Satan. Et ce ne sont que de maigres exemples. La religion la plus secrète et la plus élitiste est le satanisme, et par la Franc-maçonnerie et ses rites luciférien elle met à sa botte des politiciens corrompus, prêts à toutes les abjections et manipulation contre leur peuple. Dans Dossier pédophile, il est clairement mentionné que des pédocriminels éventrent des enfants avant de les violer. Quelle compassion voulez-vous que ces criminels aient pour vous ? C’est pourquoi le droit de vote est le plus grand des mensonges. La seule chose que l’homme ait à faire est de n’avoir aucun commerce avec cette boîte à M.. où l’on glisse un soi-disant bulletin de vote. Notre seul devoir s’inscrit dans l’éternité : nous devons uniquement des comptes à notre Créateur. Car, tout se passe dans une dimension surnaturelle. Enfin, quelque soit le courage et la générosité incontestables qu’un Dieudonné montre, l’admiration qu’il peut susciter, son combat est voué à l’échec. Contre Satan, on lutte avec des Grâces et seulement avec des Grâces, et non pas avec des dés pipés.

Ce dossier est réalisé à partir du journal italien Effedieffe, de la presse anglaise et roumaine. A lire en exclusivité sur LLP : Pédo-criminalité à Albion et en Italie : un ascenseur politique ?, par Laurent Glauzy

La franc-maçonnerie protège le réseau pédophile

Affaire Waterhouse, Jimmy Savile (Angleterre) impliquant la franc-maçonnerie qui protège une pédophilie institutionnelle de masse : « Pensez-vous… que certaines personnes soient protégées par des dirigeants haut placés ? Des franc-maçons vont-ils être interrogés ? – Les franc-maçons méritent vraiment qu’on s’attarde sur eux… Nous parlons-là de pédophilie. De sérieuses preuves attestent que des pédophiles contrôlent le monde politique. Voilà la situation de ce pays ! Nous devons faire quelquechose ! »

« Les récentes affaires d’Etat démontrent l’existence d’un réseau pédophile couvert par la franc-maçonnerie. Il s’agit de pédocriminalité organisée et protégée à très haut niveau dans la société (justice, politique, media, banque) via la franc-maçonnerie prenant parfois la forme de rituels satanistes… L’existence de ce réseau protégé par la franc-maçonnerie explique pour une majeur partie les enlèvements d’enfants, les dysfonctionnements de la justice pour enfants et de la protection de l’enfance »

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La Franc-maçonnerie Disséquée (2)

1 – L’ordre de l’étoile ou le dieu révélé de la franc-maçonnerie
2 – Jardin d’enfants pour le satanisme
3 – Esprit sexuel
4 – Babioles, signes et confusion franc-maçonnique
5 – Un enseignement et des rituels purement Anti-Christ
6 – Le message de Dieu et la réponse à la franc-maçonnerie internationale
7 – L’Évangile : une puissance de Dieu qui renverse toute les forteresses !
8 – La malédiction et l’Espoir, témoignages

« Vivre l’enfer » – Abus rituels en Allemagne (2003)

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pedophilie

4. Personnalités pédophiles protégées

Certaines figures de la vie publique sont des pédophiles notoires; ils ne sont pas inquiétés; pire, l’hyper-sexualisation des mœurs trouve ses canaux dans le système médiatique, partout dans le monde.

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Filleul de F.Mitterrand: affaire de viol collectif 2009

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Mitterrand: « Au dessus de 14 ans c’est dégueulasse »

Extrait de l’émission présentée par Thierry Ardisson sur Paris Première, «93, Faubourg Saint-Honoré» – 2005

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Gouvernés par des pédophiles dégénérés ?

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Roger Holeindre accuse Jack Lang

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Révélation de Laurence Brunet sur l’attitude scandaleuse de l’État Français sur la pédophilie

« Une interview tout à fait éloquente de Laurence Brunet-Jambu, touchée par une affaire de pédocriminalité et en responsabilité au CEDIF Bretagne »
(source: ComiteCedif) (PS, Coral)


A propos de Jack Lang

« Le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare en audience publique le 29 avril 1997 : « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. » Parmi ces personnalités présumées : Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président Mitterrand. Ce réseau Coral impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire et journalistique qui auraient abusé d’enfants handicapés et autistes. » (Balawou)

Si l’ancien ministre fait écrire par des nègres jusqu’à 5 livres par an (comme en 2006), peu de livres lui ont été consacrés. Celui de Nicolas Charbonneau et de Laurent Guimier mérite le détour. Le blog de Gai Luron nous le résume :

Dès le 4 avril 1981, il est le seul homme politique à s’afficher publiquement en faveur d’une marche homosexuelle. Il fréquente très souvent le Palace, célèbre boite parisienne où se déroulaient de fameuses orgies homosexuelles. Christophe Girard, le très visible adjoint de Delanoë, peut ainsi déclarer : « Jack Lang aime la subversion, il pense qu’il faut s’ouvrir à tout ce qui est porteur d’agitation. » (p8) Phrase étonnante de la part de Girard, quand on y pense… Quoi qu’il en soit, à ces rumeurs d’homosexualité (que dément Séguéla « qui n’est pas un con » selon l’inoubliable formule de Desproges) s’ajoutent celles de pédophilies. C’est Gilbert Estève qui lui apportera un soir dans son bureau la nouvelle du scandale. Il aurait participé à des soirées pédophiles où des jeunes mongoliens auraient été abusés, en compagnie de Gilbert Durand, Willy Marceau, et, petit clin-d’œil à mes amis philosophes : René Schérer, le célèbre traducteur des Recherches logiques, et le célèbre commentateur de Husserl.
De surcroît, Schérer, Durand et Marceau sont inquiétés par la justice. Les pétitionnaires de l’époque se mobilisent : Deleuze, Glucksmann, Sartre, Kouchner, Sollers, Catherine Millet, lesquels « ne comprendraient pas que trois pédophiles ne recouvrent pas la liberté. » (p96) prennent la défense des pédophiles. Schérer en profite pour publier un Emile perverti, manifeste apologétique de la pédophilie. Seul hic : Jack a évidemment signé la pétition. Il sera encore un peu plus associé à la pédophilie. Les auteurs du livre sont très prudents sur cette question de pédophilie ; ils se contentent de rapporter quelques faits, un peu à l’image de L’Express qui, sans pencher d’un côté ou d’un autre, rappelait qu’en 1996 avait à nouveau explosé une affaire de pédophilie autour de Jack et de son épouse. « En 1996, un «blanc» – document non signé – des Renseignements généraux fait allusion à une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note… détruites depuis. » (L’Express du 22 novembre 2005)
L’Express dans lequel on lit aussi : à l’approche de la présidentielle de 2002, quelques chiraquiens racontent une arrestation de Jack Lang au Maroc, dans une affaire de mœurs, suivie d’une exfiltration discrète organisée par l’Elysée.


Réseau Coral et Snuff Films: une dure réalité

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L’affaire d’Emmanuel Verdin

Cet homme déclare que des personnalités connues ont violé sa fille à l’age de 4 ans, avant de mourir d’une MST. La polémique fait rage sur internet, entre ses défenseurs et ceux qui l’accusent de mythomanie. Il semble qu’une procédure pour diffamation lui soit intentée pour Janvier 2015 (source: commentaires de Donde Vamos)

Plainte contre Lang, Moscovici et Hollande pour viol en réunion sur mineur

Emmanuel Verdin est le père de Laureen, une enfant décédée à l’age de 4 ans, d’une MST contractée lors des viols en réunion. La plainte pour viol en réunion contre Jack Lang, François Hollande était recevable en avril 2012, puis reçue. Et depuis, une instruction a été ouverte : un juge du TGI de Paris a été saisi de l’affaire, le 23 mars 2013.

« (…) Pour résumer l’affaire, Verdin n’a jamais connu sa fille. Elle est née après que sa compagne et mère de l’enfant l’ait quitté, fin 1996. Laureen naît le 31 janvier 1997. Cette année-là, L’ex de Verdin se retrouve dans un foyer pour femmes enceintes: le foyer d’Ariane à La Roche sur Yon. Un foyer qui a défrayé la chronique il y a quelques années.

Étrangement, selon le quotidien Le Parisien du 12/05/2005, le directeur de ce foyer était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur des pensionnaires et des salariées. (…). Le directeur en question, (…) a été condamné à 13 ans de prison pour « deux viols, quatre agressions sexuelles et deux harcèlements », et à 15 ans en appel. (…)

Verdin finit par apprendre que si Laureen a bien été placée, c’était pour des soupçons de pédophilie. Il apprend encore par un témoin, voisin et autre ex de la mère de Laureen, (…) que des partouzes ont bien eu lieu, dont Laureen a été victime.

Verdin lance alors, (…) une procédure pour les viols en réunion, procédure qui s’est perdue, lui explique-t-on en juillet 2011.(…) » (Dondevamos)

Emmanuel-verdin

 

 


Les enfants Roche

Le spectacle censuré « Le Mur » de Dieudonné, évoquait l’interview des Enfants Roche à propos du satanisme et de la pédocriminalité de l’élite maçonnique.
« La pédophilie, un sujet que je n’oserai jamais aborder : voilà un mur infranchissable… »
(Dieudonné dans le spectacle censuré « Le Mur »)

Témoignage des enfants Roche

Fils de Juge – Charles-Louis ROCHE

 

Le cas de l’Angleterre

OpDeathEaters

 

Le Château des Amerois
« Mother of Darkness castle »

chteaudesamerois« Il semble que « le propriétaire » fait tout ce qu’il peut pour le maintenir invisible. Grâce à des recherches on sait que le château est la propriété des Solvay, ceux qui produisent des antidépresseurs controversés, comme le Prozac et la paroxétine. « Médicaments » qui ont été tenus pour responsables de l’épidémie de massacres dont on a été témoins dans les écoles et universités du monde entier. Les Solvay ont également créé des camps pour enfants à travers le monde et, fait intéressant, à Bruxelles. (Voir données de Child Focus en Belgique).

En 2008, les gestionnaires du cas de Child Focus ont traité 2177 cas de personnes portées disparues et de dossiers concernant la violence sexuelle, impliquant au total 2388 enfants. Parmi ces cas:

  • 1 041 dossiers en rapport avec les fugues (1 053 enfants); parmi lesquels 47% concernent des enfants entre 13 et 15 ans, et 12% des enfants en dessous de 13 ans;
  • 435 dossiers concernant des enlèvements parentaux (331 enfants);
  • 351 dossiers concernaient des disparus mineurs migrants non accompagnés;
  • 49 dossiers concernaient un enlèvement réussi par une tierce personne, dont 3 concernant des enlèvements par des inconnus complets;
  • 21 dossiers concernaient des enfants perdus ou disparus (24 enfants);
  • 280 photos concernaient des cas d’abus sexuels sur enfants (294 enfants), dont près de 60% concernaient des enfants de moins de 12 ans

Bruxelles rejette la demande de Mc Cann concernant un système européen d’alerte pour les enfants disparus. Cet article est intéressant parce que la demande de Kate et Gerry Mc Cann concernant la mise en place d’un système d’alerte pour aider à retrouver les enfants disparus a été rejetée, et à la place les états membres créerons leur propre système et travailleront ensemble afin d’alerter les agents des douanes et les forces de police étrangères plus rapidement après les enlèvements d’enfants.

Il s’agit d’un non-sens, de toute évidence le meilleur système serait une base de données centralisée à laquelle les autorités pourraient accéder au cas où un enfant disparaîtrait, ayant ainsi un accès immédiat aux données plutôt que des systèmes décentralisés, qui ne travaillent pas ensemble. Je trouve horrible de découvrir que vous avez plus de chances de retrouver une voiture disparue qu’un enfant disparu. Il y a de toute évidence quelque chose de louche là-dessous, n’est-ce pas? Se pourrait-il que toutes ces personnalités de haut niveau, membres de la famille royale, politiciens and co, ne veuillent pas que leurs « petits » jeux pédophiles pervers prennent fin, et qu’ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour permettre à leurs activités de continuer ?

Renseignez-vous sur l’affaire Dutroux. Un immense réseau pédophile a été mis au jour et a été étouffé, et 20 témoins clés se sont « suicidés ». « Scandale de la Pédophilie en Belgique ; les autorités ont-elles dissimulé son ampleur? » (James Barry, The New York Times, 16/12/1999) :

BRUXELLES – En Belgique, X-Files n’a pas de rapport avec la série de télévision américaine, mais avec une série de témoignages terribles en rapport avec un réseau pédophile présumé. Les cinq femmes et les travestis de sexe masculin qui ont témoigné anonymement en Belgique sous le nom de code »X », ont décrit un monde souterrain de Snuff movies et de tortures sadomasochistes qui était presque impossible à croire. Et ils ont dit que des politiciens et d’autres membres haut placés de la société étaient impliqués.

La sagesse conventionnelle voudrait que les témoins étaient soit mentalement dérangés, soit racontaient des histoires inventées de toute pièce. Il ne s’agissait en fait, dans le jargon des psychiatres, que d’un mauvais cas de syndrome de fausse mémoire collective. Mais un nouveau livre écrit par trois journalistes spécialisés dans les affaires criminelles, « Les Dossiers X – Ce que la Belgique ne devait pas savoir sur l’affaire Dutroux, » publié en français [PDF] et en néerlandais en novembre, affirme que les témoins sous X étaient plus crédibles que ce que la « sagesse conventionnelle » suggère.

La tentative de dissimulation était tellement évidente que 300.000 Belges sont descendus dans la rue pour protester contre la façon dont l’enquête a été menée. Au moins 3 familles de victimes ont été convaincues qu’il y avait une tentative de dissimulation massive, et au moins 20 témoins cruciaux se sont « suicidé ». Il semble très difficile d’avoir accès à ces dossiers X. Peut-être cela a-t-il à voir avec le fait que de nombreux hauts fonctionnaires ont été cités en tant que participants dans les crimes susmentionnés, y compris des membres de la famille royale et au moins un ancien commissaire européen (le nom n’a pas été rendu public). Présentement, je ne vois pas comment Springmeier ou Wheeler ont pu accéder à ces audiences secrètes, mais nous verrons jusqu’où cette histoire ira dans le futur. Je vais également visiter le lieu en question aussitôt que je m’en approcherais. Le château n’est pas mentionné dans les listes habituelles de châteaux en Belgique. Les photos et références sont rares.

Le château fut la propriété du prince Philipp von Saxe-Cobourg-Gotha, et plus tard de la famille Solvay. La famille Solvay est l’une des grandes familles industrielles d’Europe (producteur de médicaments, de plastiques et produits chimiques comme le fluor). Dans leur livre de 1996, Fritz Springmeier et Cisco Wheeler le mentionnent sous le nom de « Mother of Darkness castle ».

Cet obscur château existe bel et bien et a été mentionné fin 1996 et début 1997, par au moins un survivant « X » de l’affaire Dutroux comme un lieu où des choses répugnantes se sont passées. Différents témoins qui ont décrit des tortures, des viols d’enfants, de la pédophilie, des chasse d’enfants, ainsi que des meurtres d’enfants ont été déclarés « fou », mais seulement après que tous les enquêteurs d’origine ont été subitement remplacés.

Il y a eu aussi plusieurs mentions d’orgies sexuelles qui se sont déroulées dans différents châteaux. Cela n’avait pas d’importance que les récits des témoins comprenaient de nombreux détails vérifiables corroborant et ont aidés à résoudre deux précédents meurtres d’enfants. »

En savoir plus : Sur notre ancien dossier. Source original : discussion de forum (corrigée)

chateau-des-amerois


 

 

pedophilieSexualisation massive, quotidienne :

Ces informations sont épinglées sur l’Esprit du moment (rubrique « EXPLORATION ») sous le hashtag #sexe

Beaucoup plus dans l’actualité #sex (quelques exemples très récents):

L’origine de la sexualisation massive :

Kinsey : Pédophilie et Révolution Sexuelle

(Durée 49 minutes). Reportage américain sur la pédophilie et son origine. « Le Dr Judith Reisman (qui a écrit « Kinsey, Sex and Fraud ») décortique les théories de Kinsey et le résultat est tout simplement choquant (…). Le tout commence par des théories sur la sexualité d’Alfred Charles Kinsey (23 juin 1984-25 Août 1956, le père de la révolution sexuelle), fondateur de l’Institute for Sex Research (devenu plus tard le Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction) en 1947 et financée par la Fondation Rockefeller«

 

 

 

LA VILAINE LULU (Yves Saint Laurent) :
BD D’INITIATION SATANIQUE

En 1967, le styliste Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou La Vilaine Lulu, un album de bandes dessinées, ou « Contes pour enfants sadiques ou avancés ». Selon le site de la Fondation Pierre Bergé, ce serait Françoise Sagan qui aurait encouragé St Laurent à publier cette bande dessinée commencée en 1955.

Dans cette BD, Yves Saint Laurent décrit tout simplement – sous couvert d’humour !? – la réalité des réseaux pédophiles lucifériens/sataniques. Il semble y faire l’apologie de la pédophilie, du satanisme, de la pornographie infantile, du rapt des enfants, des sacrifices humains, … bref, tout ce que l’on peut imaginer de pire des cercles élitistes illuminati, tels que décrits par Svali et de nombreuses autres victimes de ce réseau pédocriminel. Ce livre a été également vendu en tirage limité à 500 exemplaires numérotés, au prix de 550,00€, avec, en bonus, la signature de l’auteur. Il est donc facile de conclure que non seulement cette BD n’était pas destinée aux seuls enfants, mais aussi à de riches initiés fortunés prêts à débourser une telle somme pour ce livre exposant les pratiques de leur groupe.

Pour ceux qui douteraient encore de la réalité de ces crimes, cet album porte en introduction la mention « En outre, toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels. » (source)

lulu210


QUELQUES EXTRAITS DE LA VILAINE LULU
: (Voir descriptif des images)

 

Wanted Pedo

Entretien avec Maxime, porte-parole de « Wanted Pedo »


pedophilie

Quelques documents vidéos:

Quelques articles:

Vous en voulez plus ? Ce site est spécialisé en articles sur la pédocriminalité: Donde vamos: Pédocriminalité, mais aussi politique mondiale, questions économiques et sociales, géopolitique. Derniers messages:

Quelques exemples d’affaires étouffées


LIENS

4 réflexions sur “Les Dessous du réseau pédocriminel

  1. Ne vous faites pas d’illusion ! Tant que les actuels députés qui fonctionnent en interdépendance avec les magistrats pour ne pas envoyer aux assises les intervenants mafieux de l’affaire Amidlisa, la force publique restera au service des mercenaires pourris que sont nos politiciens ! Ils ne vont tout de même pas scier la branche sur laquelle ils sont assis et qui lie entre eux,les pervers manipulateurs criminels qu’ils sont TOUS (la preuve : amidlisaorg qu’aucun ne veut voir instruite) avec ces exactions inhumaines qui servent à les protéger !

    Tant que vous qui dénoncez,, vous vous limitez à crier au scandale sans prendre le pouvoir en elisant les vôtres à l’Assemblée Nationale, vous n’avez rien à espérer ! Feuchten ?

 

https://explicithistoire.wordpress.com/2014/10/25/les-dessous-du-reseau-pedocriminel/

Stan Maillaud et Janett Seemann – Entrevue Choc… par metatvofficiel